jeudi 29 juillet 2010

"AM"

Il y a deux mois de ça, je tournai dans la video teaser pour le site internet d'American Vintage, et ça y est, elle est en ligne sur le site d'American Vintage. Le rendu est vraiment joli, voyez plutôt:

http://www.am-vintage.com/


Je connaissais mal la marque à l'époque, pas trop le genre évaporée comme nana. Il y a une belle identité chez American Vintage, quelque chose de léger, de transparent, de doux, d'agréable, healthy: des filles qui se retrouvent dans une boîte à musique, rient, dansent, tournent sur elles-même. AM, c'est frais, pas fou, mais ça fait du bien.

Et puis, le top, c'est que quelqu'un de chouette qui travaille pour AM est tombé sur cette page et m'a communiqué les visuels de la collection A/H 2010. En voici quelques images, en plus des photos prises pendant le tournage:








mercredi 28 juillet 2010

"Karen O' Yeah!"

Parce que je l'adooooore depuis que j'ai quinze piges. Parce qu'elle évoque quelque chose de brut, de l'enfance, de la petite adolescence. Elle est électrique et débordante. D'abord on écoute et c'est sa voix hystérique, trop aigüe mais tellement juste, fulgurante. Et puis un jour, on va la voir en vrai (à l'Olympia), et on prend ses claques: visuelle, sonore, émotionnelle. Karen O est une Yeah Yeah Yeahs, for sure.
Une énergie qui déferle, positive et enivrante.
Parce que cette fille là peut passer d'un tonitruant "I've Got A Date With The Night" à la douceur un peu tristoune de "Down Boy" ou "Runaway". Et puis il y a la BO de "Where The Wild Things Are", avec les enfants, un moment de répit, de joie, quelque chose de neuf chez celui qui écoute.
Elle fait partie de ces inclassables des chiffons. Des formes et des couleurs ensemble et sur lesquelles on aurait jamais parié, bah, sur elle, ça marche.
Et puis là va sortir le Live in London (par Nick Wood) alors vous envisagez mon impatience de retrouver tout ça à la maison...

ICI le trailer: http://www.youtube.com/watch?v=Drpq0I0JT8U&feature=player_embedded





mardi 27 juillet 2010

"RAS LE BOL"

Comme prévu, impossible de me laisser repousser les cheveux pour avoir (enfin) l'air d'une naïade. J'ai préféré Calimero/Jeanne d'Arc: le BOL. Ca évoque l'enfance, Mireille Matthieu, l'air nounouille... Mais, bizarement, j'ai l'impression que ça ne marche pas mal du tout (j'en profite pour rendre un hommage à ma coiffeuse chérie-qui-comprend-tout-tout-de-suite, Soun, chez Ultra, rue Saint Sabin).

Démonstration par l'image.

J'en profite aussi pour faire état de la joie de deux bodies Princesse Tam-Tam sur lesquels je louchais depuis des mois (vive les soldes!). Dentelles. Noir. Blanc. BOUM.

Et puis merci Vittorio (oui,toujours le même Cf: article "VBB") pour les jolies photos.









lundi 26 juillet 2010

"J'aime la galetteuh..."

Premières jolies petites vacances. La mer sublime. Les bateaux. Des beaux amis. Les marins. Le ciel qui va qui vient. Le temps passe différemment.













mercredi 14 juillet 2010

THE LOVE CAT

Parce que mon chaton me rend complètement niaise -et comme Denver, "bien plus encore"- il fallait que je lui dédie un petit post.
Il est beau, tout petit, très drôle (le plus souvent à ses dépens), se mange les fenêtres, se vautre depuis la moindre hauteur, miaule quand on l'appelle, dort à l'intérieur du canap', fait pipi sur mes rideaux, déteste les douches, s'éclate toute la journée avec les voiles des fenêtres qui volent un peu, a fait son premier caca dans sa litière il y a quatre jours, adore se promener dans mes chaussures, fait des câlins interminables...
Niaise je vous dis.
Alors voilà mon chat: Chat.








mardi 13 juillet 2010

METROPOLIS

Il y a des fois où on fait les choses un peu en retard. Il y a surtout des fois où ça en vaut la chandelle. Pour travailler une scène, j'avais besoin de regarder des films muets et, parmi tous ceux qu'on m'avait conseillé, il y a eu Metropolis de Fritz Lang (un type dont le travail est globalement génial par ailleurs).
Et là, LA claque. 1927. BOUM. C'est beau. L'imaginaire va loin. Le dédale de la ville et des profondeurs devance Le Procès de Kafka et le labyrinthe qu'en avait fait Welles en 1963. Brigitte Helm y est juste incroyable: à la fois sainte Maria, bonne et dévouée, et Maria pécheresse -démons pour les hommes, celle qui rit encore quand on la brûle.
Une claque je vous dis. Alors balancer quelques images évitera largement un commentaire qui ne saurait être à la hauteur de ce qui a déjà été écrit et de ce que dit ce chef d'oeuvre.